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vendredi 12 mai 2017

Gian Giacomo Medices (cardano 6)

CARDANO'S TWELVE HOROSCOPES

GENITURA VI

Hieronymi Cardani (1501-1576)



 6. Gian Giacomo Medici, marquis de Marignan, plus connu comme « le Medeghino » (Milan, 25 janvier 1498 – Milan, 8 novembre 1555)

Cardano may have attempted to bring about one other reversai of conventional historical judgment, this time relating to the recent history of Milan (and possibly specifically in response to Arluno). In a collection of twelve genitures that he published in 1554, he included that of Gian Giacomo Medici. In the accompanying narrative, he admitted that Medici had initially been a robber baron, but he pointed out that Medici had then fought strenuously and effectively on behalf of Charles V. He added — using arguments similar to those of the Encomium of Nero, but with an even more pointed example — that no one, including the first Francesco Sforza, had ever risen from private life to control of a principality without betraying his patria and performing some wicked acts. Moreover, Cardano

[Cardano, Liber XII geniturarum, no. 6, in Cardano 1663, 5:514. The work was first published in 1554 with Cardano’s commentary on Ptolemy’s Tetrabiblos (see note 2 to the present chapter); on this collection, see Grafton 1999, Cardano's Cosmos, chapter 7. For Arluno’s evaluation of Gian Giacomo Medici, see note 44 to this chapter.]

maintained that Medici was virtuous and pious in private life and compelled by necessity to act as he did.83 Only a decade earlier, Cardano had published an even more laudatory geniture of Gian Giacomo Trivulzio, the Milanese general who fought for the French in the wars at the turn of the century; in it, he referred to Trivulzio as “the great glory of our country.” Cardano may have shifted his perspective in the interim and doubtless had prudential reasons for his account of Medici, who was still alive, was the brother of a cardinal (soon to become pope) and of a former patient, and was a member of a powerful family with which Cardano retained valuable connections. But it seems likely that his real opinion of both men was expressed in a remark not published in his lifetime: “Someone may say that Gian Giacomo Trivulzio and Gian Giacomo Medici were dashing and perhaps rare generals, but both were more mad for power than for honor; one let the French into the city, the other considered the citizens his enemies, so that we might boldly declare that the same person cannot be a good general and a good citizen.” [History, Medicine, and the Traditions of Renaissance Learning, Nancy G. Siraisi, Michigan Press, 2008]


Ioan. Iacobus Medices Principis

Bandit de grand chemin devenu mercenaire des ducs de Milan puis de Charles Quint, Gian Giacomo Medici, par le produit de ses rapines, permit à son frère de monter sur le trône papal sous le nom de Pie IV.

[Cardano, Liber XII geniturarum, 514 - Junctinus, Astrologicum calendarium, 291b. et In Ptol. de Astror. Iudic. Lib. iij cap. ii, 295a ; même heure : 3h22 AM.] On doit retenir comme heure de travail : 8h38 du matin (correspondant selon l'ancien style à 3h22 am).

Gian Giacomo   Medicis, geniture

  • Jupiter conjonction MC
  • Saturne conjonction AS, Mars proche de l'AS
  • Mirach conjonction en longitude avec l'AS, avec une domitude à 334°35'
  • Antares, conjonction avec la Lune, domitude 195°38'.
thème de domitude avec positions réelles des étoiles


A peine âgé de 16 ans, il tue l"un de ses condisciples : D Sa,M // L. Il devient par la suite homme de main des Sforza. En 1522, Gian Giacomo participa (comme officier subordonné) au passage de l’Adda et même peut-être à la bataille de la Bicoque ; en outre il contribua aux campagnes de pacification contre les Guelfes et les Français [...] C'était pour lui le début d'une nouvelle vie et d'une véritable carrière militaire, ponctuée de succès qui lui allaient lui valoir pouvoir et prestige : D J // V et en 1520 D S conj V. De 1524 à 1525, le Duché de Milan fut de nouveau en guerre avec la France et ses alliés suisses et Grisons. Contre ces derniers, le Medeghino entreprit une guerre de frontière sans merci : 1525 D V // J (presqu'en conjonction avec le MC) et 1526 V conj MC. Pour prix de son retournement d'alliance au profit des Impériaux (traité de Pioltello, 1528) on lui concédait les titres de comte de Lecco et de marquis de Musso, ainsi que la reconnaissance de son autorité sur le lac de Côme. Il devenait ainsi un vassal de Charles Quint, sujet direct de l'Empereur et, enfin, le maître d'un état indépendant : D  conj J.
Mais bientôt, de nouvelles conditions politiques et un retournement d'alliance (le ralliement de Sforza à Charles Quint), entraînèrent son isolement politique : 1528 D Sa conj S. En 1545, par l’entremise du pape Paul III et celle de son frère le cardinal Giovanni Angelo, il épousa Marzia Orsini, veuve de Livio Attilio d’Alviano, seigneur de Pordenone : C L conj Jet M # V. On relève en outre une conjonction de Mars à Mirach et de Jupiter à Antares en 1546 (gouverneur de Bohème nommé par Charles Quint dont il sauve la vie à Ratisbonne). il s'illustre en Émilie contre Horace Farnèse, et en 1552 dans le Piémont contre les Français. En 1553 il remplace Ferdinand de Gonzague, disgracié, au poste de général : D S // J et S conj MC. Lors de la campagne contre la République de Sienne, il déploya de nouveau ses capacités techniques et sa détermination, mais manifesta aussi son comportement bestial : ni l'âge, ni la gloire n'avaient entamé sa férocité. La fin est proche, en 1555, marquée par une direction de Saturne conj Vénus et un rapt parallel Rp Vénus | Saturne.

thème de domitude 1555

 Sienne fut la dernière campagne militaire importante du Medeghino ; après tant d'horreurs commises et d'admiration suscitée auprès de ses contemporains, elle acheva d'asseoir sa réputation et sa richesse. Il ne devait pourtant pas en recueillir les fruits pour lui-même : le 9 novembre 1555, il mourut prématurément dans son palais de Milan d'une rétention urinaire [Bibl.Apost. Vaticana, codex Urb. lat. 1038, fol. 103° : « Al Marchese di Marignano manquo di questa vita alli 9 del presente (9 novembre 1555) des mal di non poter urinare, dove gli creppo la vesica - ha lassato, per quanto s'intende, 500 000 ducati di contanti, parte qui [a Roma], parte a Genova, et parte appresso di lui. »]

Addendum of 23/06/2019

after transformation of LAT into LMT, new birth time is 8:52 AM (new style).



ALMUTEN



Trad almuten is SU ; Lilly's one is MA.

SPECULUM



RAYS


PARALLELS



PRIMARY DIRECTION

(m) square MO conj MA








ALCHOCODEN












vendredi 14 avril 2017

Medici Cosimo II

Medici Cosimo II


Two bodies, which by rapt motion are carried to a point where they are equidistant from and on opposite sides of the meridian or the horizon, are said to be in rapt parallel. This is done in primary directions according to the method of Placidus as computed by the Morinus software. But we can also compute by successive approximation a rapt parallel. In the same way as the classical directions (i.e. by motion of the primum mobile), the actual directions formed by two planetary points or two stars can be either direct or converse motion. We take a first example :

Medici, Cosimo II de

[Placidus, PM, 9. 191, 18h26 - Argoli, DDC, 210, 19h pm ]


FIGURE I


[according to: Michael Talbot, 'Ore Italiane' Italian Studies, 1985, Vol.L, p.52. Cf. Galileo's astrology, Nick Kollerstrom - Cf. also : How Galileo Dedicated the Moons of Jupiter to Cosimo II de Medici The Inspiration of Astronomical Phenomena, Proc. of 4th INSAP Conference, Oxford, Ed. N. Campion, Bristol 2004, pp. 165-181. ]





Galileo’s complete Cosimo II nativity, dated by Owen Gingerich to 12th May 1590
Medicis (Cosme II de), quatrième grand-duc de Toscane, né le 12 mai 1590, mort le 28 février 1621 (1620 suivant le style florentin). Il était fils aîné de Ferdinand ler de Médicis et de Christine de Lorraine. Cosme venait d’épouser Marie-Madeleine d’Autriche lorsqu'il succéda à son père, le 17 février 1609. Très-lié avec Ferdinand de Gonzague, duc de Mantoue, auquel il maria sa sœur Catherine ( 1615), il secourut ce prince contre le duc de Savoie, Charles-Emmanuel Ier, qui avait envahi le Montferrat (1613). Les traités de Madrid et de Pavie, conclus en 1617, mirent fin à cette guerre. Le 3 novembre 1613 Cosme ouvrit à Livourne un asile au grand-émir des Druses, Fakhr ed-din, alors en guerre avec le sultan Amurath IV, contre lequel il avait soulevé la Syrie. L’émir promettait de remettre les chrétiens en possession de la Palestine, Cosme II, le pape Paul V et le roi d’Espagne Philippe III acceptèrent les propositions de Fakhr-ed-din. Ils lui fournirent des troupes, avec lesquelles il prit Antioche et soumit les montagnards du Sajou ; mais, ayant engagé une guerre injuste et désastreuse contre les Arabes, l’émir fut vaincu et fait prisonnier. Envoyé à Constantinople, Amurath IV, furieux de ce que, d’après les conseils de Cosme, Fakhr-ed-din avait fait détruire et combler les ports florissants de Beyrouth, de Saint-Jean-d’Acre, de Séida et de Tyr, fit décapiter le chef druse avec tous les membres de sa famille qui se trouvaient en captivité. En 1619, Cosme fut plus heureux dans les secours qu’il fournit à l’empereur Ferdinand II, assiégé dans Vienne par Thurn, chef des Bohèmes révoltés.


Les troupes toscanes, déguisant leurs drapeaux, traversèrent les rangs des assiégeants, entrèrent dans la ville, et contribuèrent beaucoup à dégager Ferdinand. Cosme II fut presque toujours valétudinaire, dans ses dernières années; contraint de garder le lit ou la chambre, il ne cessa pas néanmoins de donner tous ses soins aux affaires de son gouvernement. « Lorsqu’il mourut, dit Tarquinio Galluzzi, tons les ordres de l’État regrettèrent sincèrement un souverain le plus favorisé de la nature pour les qualités du cœur et le plus chéri de tous ceux que la maison de Médicis avait fait régner en Toscane. La clémence, la tolérance et la modération formaient son caractère ; l’amour qu’il portait à ses sujets, sa bienfaisance envers eux, les intéressaient tous à son salut. Une humeur égale et enjouée rendait sa présence agréable à ceux qui rapprochaient, et lui faisait oublier ses maux. » Sous son règne la Toscane avait acquis une puissance et une opulence telles que Cosme mit plusieurs fois vingt mille hommes sous les armes sans frapper ses sujets d’aucun nouvel impôt. Florence, devenue la rivale de Rome, attirait alors chez elle une foule d’étrangers qui venaient suivre les cours de ses illustres professeurs et admirer les chefs-d’œuvre antiques et modernes dont elle était remplie, tandis que par l'activité de ses habitants et leurs capitaux considérables elle était devenue le centre des opérations commerciales d’une partie du monde.

Cosme laissa cinq fils : Ferdinand II, qui lui succéda, sous la tutelle de sa mère ( morte en 1631); Jean, cardinal en 1644, mort le 12 janvier 1662 ; Mathias, mort en I667 ; François, décédé devant Ratisbonne, en 1634 ; Léopold, cardinal en 1667, mort en 1675; et deux filles : Marguerite, femme d’Odoardo Farnèse, duc de Parme; et Anna, mariée à Ferdinand-Charles, archiduc d’Inspruck.
[Nouvelle Biographie Générale depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, etc. dir. Dr Hoefer, Didot, XXXIV, 1875, p. 691-692]



FIGURE II

C S conj Sa 1619 (
died of tuberculosis on 28 February 1621 ). Galilee computed the natal chart (2nd version) for 20h 56, hence : C S // Sa 1622. And we find also the Rp : L | M (1622). Take care that one can only consider one of the two methods (direct or converse) for conjunctions and oppositions, for it is the same aspect of parallel.


FIGURE III

So, we have this table which summarize our observations :
TAB I

If we take into account the fixed stars, we observe a conjunction between the Sun and Algol, as well as between Venus and Alcyone. Some astrologers insist on the dissonant tone of this star which is denominated head of Medusa. [cf. http://ye-stars.com/WP/medusas-head]. 


 Addendum 25/07/19

Primary directions





 (m) square MO conj SA