samedi 2 septembre 2017

Francesco Filelfo

HIERONYMI CARDANI - DE EXEMPLIS CENTUM GENITURARUM


III

Francesco Filelfo (Latin: Franciscus Philelphus; July 25, 1398 – July 31, 1481)


was an Italian Renaissance humanist.Filelfo was born at Tolentino, in the March of Ancona. He is believed to be a third cousin of Leonardo da Vinci. At the time of his birth, Petrarch and the students of Florence had already brought the first act in the recovery of classic culture to conclusion. They had created an eager appetite for the antique, had rediscovered many important Roman authors, and had freed Latin scholarship to some extent from the restrictions of earlier periods. Filelfo was destined to carry on their work in the field of Latin literature, and to be an important agent in the still unaccomplished recovery of Greek culture.

[Cardano, opera omnia, vol. 5, 459 - Gauricus, Tractatus astrologiae, 62, r - Junctinus, Speculum astrologiae, 368b]



philelphe ( François Filelfo ), célèbre humaniste italien, né à Tolentino, le 25 juillet 1398, mort à Florence, le 31 juin 1481. Fils d’un artisan peu aisé, il fut, à cause de ses heureuses dispositions, protégé par plusieurs personnes qui le mirent à même d’étudier les belles-lettres à Padoue. Là il mena une vie si déréglée, qu’il fut renvoyé de la ville par ordre du magistrat. En 1417 il commença à professer à Venise, et il s’en acquitta avec tant de succès qu’il y obtint le droit de cité et qu’il fut, en 1420, envoyé à Constantinople comme secrétaire de l’ambassadeur de la république. Il apprit à fond la langue grecque sous la direction du fameux Chrysoloras, dont il épousa la fille. Il acquit la faveur de l’empereur Jean Paléologue, qui, l’ayant pris à son service, le députa, en 1423, auprès de l’empereur Sigismond, qui invita Philelphe à assister aux cérémonies de son mariage à Cracovie; à cette occasion il prononça devant une assemblée de princes et de seigneurs une harangue qui fut extrêmement applaudie. Il fut envoyé plus tard auprès du pape Eugène IV et auprès des princes de l’Italie pour leur demander des secours contre les Turcs. En 1427 il revint dans son pays, et fut d’abord pendant un an professeur d’éloquence et de morale à Bologne. Les troubles qui naquirent dans cette ville l’engagèrent à accepter une chaire de belles-lettres à l’Académie de Florence, dont il alla prendre possession en 1429. Il fut reçu avec des honneurs extrêmes, comme étant le pocte latin le plus élégant et le connaisseur le plus expert de la langue grecque qu’il y eût en Occident. Confirmé par cet accueil flatteur dans la haute opinion qu’il avait de lui-même, il se mit à faire dans ses cours, fréquentés au commencement par plusieurs centaines d’auditeurs, un éloge tellement emphatique et si souvent répété de son mérite, qu’il se déconsidéra peu à peu auprès de la plupart des lettrés distingués, qui habitaient alors Florence. Nicooli, l’un d’eux, se mit un jour à critiquer amèrement un écrit de Philelphe que celui-ci venait de lire dans une réunion littéraire. Blessé au vif, Philelphe lança contre son contradicteur une violente satire, pleine d’allégations calomnieuses. Cela le brouilla en peu de temps complètement avec les amis de Niccoli, Traversari et Marsuppini, contre lesquels il commença une guerre d’invectives des plus odieuses ; remarquant qu’il s’était ainsi aliéné la faveur des Médicis, qui l’avaient d’accord accablé de prévenances, il dirigea contre eux et leur parti les traits de sa satire. Sa fureur ne connut plus de limites, lorsqu’il eut été un jour assailli dans la rue par un spadassin, du nom de Filippo, qu’il ivait repoussé d’un coup de poing sur la poitrine; persuadé que ce guet-apens lui avait été préparé par les Médicis, il alla jusqu’à demander a mort de Côme, fait prisonnier après la révo-ution qui en 1433 mit les aristocrates au pouvoir. Influent auprès du parti vainqueur, il poursuivit plus que jamais de ses insultes sur:out Niccoli et Marsuppini, ainsi que Poggio, qui avait pris leur défense. Mais en 1434, au retour les Médicis, il fut obligé de quitter Florence, et ilia professer à Sienne. Irrité du virulent libelle que Poggio lança alors contre lui, il ré-digea par une suite de satires, où il continuait i diffamer les Médicis, ce qui le fit bannir formellement de Florence. Peu de temps après, Filippo fut arrêté à Sienne, et avoua qu’il avait de nouveau voulu assassiner Philelphe; mais quoiqu’il eût été mis à la torture, et que la nain lui fût coupée, il ne voulut pas trahir ceux qui l’avaient payé. En 1439 Philelphe se rendit à Milan, où il fut nommé professeur par le duc Philippe-Marie, qui l’accabla d’honneurs et de présents et le fit, en 1446, son poète de la cour; en revanche il chanta dans les termes les plus pompeux les éloges de ce cruel tyran. Introduit dans une vie de luxe et de plaisirs, il y prit un tel goût, que son but principal fut dorénavant d’acquérir force richesses pour les dissiper immédiatement. Après la mort de Philippe il flatta les chefs du parti républicain, qui lui assignèrent des domaines confisqués pour la valeur de plusieurs milliers de ducats. Lorsqu’ils furent sur le point de succomber, il les abandonna aussitôt, et alla se prosterner aux pieds du nouveau duc François de Sforze. Celui-ci, soldat rude et inculte, sentait cependant très-bien l’utilité pour lui de se faire louer en des vers élégants par l’homme qui malgré ses écarts était encore le plus renommé des lettrés d’Italie; aussi lui fit-il remettre malgré la pénurie de ses finances à plusieurs reprises de fortes sommes, pour que l’avide poète consentit à écrire une épopée qui devait contenir le récit des hauts faits de son patron. Philelphe, malgré son extrême facilité de versification, mit beaucoup de temps à rédiger sa Sforziade, pour tirer de son héros le plus d’argent possible. Menant un train de maison princier, portant des habits de soie du plus grand prix, faisant mettre jusqu’à six chevaux à sa voiture, il se mit à prélever sur la vanité de tous les princes italiens, grands et petits, de fortes dîmes, leur offrant, comme plus tard l'Arétin, de leur prodiguer contre espèces sonnantes les flatteries les plus nauséabondes ; et il réussit en effet à se procurer par ce grossier appât des sommes considérables. Après s’être dans l’intervalle réconcilié avec les Médicis, il se rendit en 1453 à l’appel du roi Alphonse de Naples, qui le créa chevalier et le couronna du laurier poétique; à son passage à Rome, il reçut du pape Nicolas V un présent de cinq cents ducats et le titre de secrétaire apostolique. 11 retourna ensuite à Milan, où il resta jusqu’à la mort de Sforze; sa réputation commençant alors à décliner, il fut obligé, pour vivre, de monter de nouveau en chaire, et il professa successivement à Rome, à Sienne, à Pavie et dans d’autres lieux ; enfin il alla en 1481 enseigner le grec à Florence, où il mourut dans la pauvreté, après avoir survécu à sa gloire et prostitué un talent incontestable au plus honteux trafic [...] .[Nouvelle biographie universelle, dir Hoefer, vol. 38, pp. 841-844]


  • ASC VIRGO, ruler ME (I)
  • MC TAURUS, ruler VE
  • SU LEO
This is a geniture without major detriment. We notice a conjunction SU-JU. SA and MO are in SAGIT. ME is particularly strong. According to Morinus, ALMUTEN is ME.
However, there is a low MA in CANCER.

HYLEG : ME
ANAERETE : MA, SA
ALCHOCODEN : VE


In mundane progressed horoscope, three directions: two 'echo' directions MA # MO (1479) and a rapt-parallel ME || MA (1479). In zodiacal chart, one major direction : C SA conj ME (1479).



1)- MA conj # MO


 This is a true converse direction; It can be seen on the previous diagram where one finds its trace in the mundane direction. To compute this direction:
1) - determine longitude of the MA domitude (241 ° in the Campanus domitude) ;
2) - this longitude corresponds to the  mundane #MO
3) - the direction #MO conj. MA is then computed (depending on the type of domitude; with Campanus, 241 ° equating 29.495 ° ARIES).




- parameters







Here we see the latitudes of the promissor (MA) and the significator (#MO); In the zodiacal direction, only the latitude of the significator is used; In the mundane direction, the two latitudes are used. We do not use the Moon's proper motion for #MO.

- results


There are six mundane directions and none fictitious direction. For definition of 'fictitious' directions, see the precedent posts. The mean year is 1481.5 (1479 with Morinus by use of PTO key).




2)- #MA conj MO


This is the reverse case of the previous direction, mirrored. The domitude of #MA is 44.55 ° Campanus, which is converted to 194.83 ° VIRGO.

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recall: to transform a Campanus domitude into longitude, one must go through the following steps (which seem to me the simplest): 
To transform a Campanus domitude into longitude, one must go through the following steps (which seem to me the simplest (formula for Libreoffice, from DUVAL Max, la domification et les transits, Ed. Traditionnelles 1985) :

a)- hp = (DEGRES(ATAN(COS(latgeo_rad)/TAN(RADIANS(SI(dom_pa=0;360;dom_pa))))))  where dom_pa = 44.55° ; latgeo is 43°12'N (the case of dom_pa = 0 is that of the domitude is the ASC, see Makranski algorithm) ;
b)-  Lp = DEGRES(ATAN(SIN(RADIANS(ar_p))/(COS(eclip)*COS(RADIANS(ar_p))+
+SIN(eclip)*SIN(RADIANS(hp))*TAN(latgeo_rad)))) where eclip is actually 23.516° ; ar_p is an accessory angle in case of ts-hp<0 ;

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So, actually, we have dom_pa = 44.55° and Lp = 194.83° VIRGO.






- parameters :




- results




We have 3 primary directions and none 'fictitious'.


3)- SA conj ME


It is a zodiacal direct direction. This arc occurs between ME (significator and hyleg) and anaerete (promissor SA).





- parameters


- results


Here, we have 5 primary directions and none fictitious. The mean year of even is 1480.92.


4)- rapt-parallels

The calculation of rapt-parallels is often perceived as long and not very obvious to realize: I propose a simplified way of proceeding which is not rigorous but has the merit of speed:
1) - from the domitude of the promissor and the significator, we search for the mundane midpoint domitude;
2) - find the longitude corresponding to that mundane domitude ;

3)- calculate the mid-point direction to the MC; The arc corresponds approximately to the rapt-parallel.

exemple 1 : this natal chart. We compute the rapt parallel ME || MA. This is an important Rp since it involves the hyleg and an Anaerete. And we have seen in other themes that the Rp can coincide with events that determine the destiny of individuals.


The table shows the radix domitudes of the promissor (MA) and the significator (ME); It is better for the clarity of the computation to place the point whose domitude is the smallest as promissor. The table at the bottom shows the mid-points; We compute their longitude then in AR we probe the corresponding direction with the MC. The arc found corresponds to the Rp : for example, Morinus gives 79.73 ° arc Placidus (PTO) where we find 81.74 °.

In addition, our method allows to automatically calculate the parallel rapt corresponding to a given pm and a pf, in the MC-IC axis , and both the ASC-DSC axis.

Exemple : compute the rapt-parallel between ME and SA in the natal chart  of FILELFO, for any year, giving only the radix domitudes ; we have the table :


The table has been modified and completed:
- at the top: the domitudes of the three systems of domination
- mean: the parallels (Rp) are on the right (ASC / DSC) and (MC / IC)
- bottom: auxiliary technical table


For the Rp ME || SA, Morinus indicates in the ASC / DSC axis 61.77 ° (direct direction); We give 59.9 °; In the MC / IC (converse direction) axis, Morinus indicates 37.46 °; We give 36.48 °.

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